Castle of Illusion starring Mickey Mouse est une remasterisation / remake de la version Megadrive du jeu du même nom sorti il y a 23 ans.
N’ayant pas connu cette version (oui j’avais – 3 ans à l’époque) je vais plutôt me concentrer sur la version du jeu en elle-même plutôt qu’aborder les différences avec l’épisode original.
Faisons très simple, l’histoire concerne Mickey qui explore chaque pièce d’un mystérieux château pour délivrer Minnie des griffes de la sorcière Mizrabel.
En partant à sa poursuite, il va se retrouver dans le Château des Illusions qui servira de zone centrale, donnant accès aux différents niveaux du jeu.
On peut compter près de 12 niveaux, ce qui implique 6 boss.
Les niveaux étant assez courts, la durée de vie s’en trouve donc directement affectée et atteint plus de 2h en ligne droite et près du double pour prétendre atteindre les 100% du jeu.
Le jeu s’avère très beau et s’adapte très bien à l’ère HD.
Je n’ai pas croisé de soucis majeurs concernant des bugs ou autres problèmes de textures, tout est fluide et bien optimisé, c’est donc un bon point de ce coté-là.
Les musiques sont elles aussi très agréables et ma foi, très entrainantes par moment (disons qu’il s’agit du syndrome « It’s a Small World » !)
Enfin, côté Gameplay, on est face à un jeu de plateforme assez bien inspiré dans son level design, quoique légèrement classique.
Mickey se trouve être un peu rigide à première vue mais on s’adapte assez aisément à ses contrôles et cette sensation disparait rapidement.
On est évidemment très loin de la difficulté de fou furieux qu’imposait le jeu Mickey’s Wild Adventure car celui-ci s’adaptera au niveau du plus grand nombre et c’est tant mieux !
En conclusion, Castle of Illusion starring Mickey Mouse est un très bon jeu remis au goût du jour et vendu à petit prix.
Certes, il pourrait paraitre trop court à certains mais l’univers reste tout de même assez enchanteur et émerveillera les fans de la souris de Walt Disney, ce qui conviendra également aux enfants puisque sa difficulté est assez bien dosée.
